Jean Charest visite les installations de Groupe Berlie-Falco

Le 20 août dernier, l’usine de Groupe Berlie-Falco a reçu la visite du premier ministre Jean Charest, de passage à La Prairie dans le cadre de la campagne électorale.

M. Charest a profité de l’occasion pour annoncer des investissements supplémentaires de 375 millions de dollars sur cinq ans visant à soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) manufacturières québécoises. Selon M. Charest, la croissance du secteur manufacturier passe par l’innovation, l’exportation et l’écoresponsabilité. Il a également insisté sur l’importance de commercialiser au niveau mondial des produits et des procédés novateurs.

À ce titre, Groupe Berlie-Falco rayonne depuis longtemps au niveau international et a livré des projets clés en main aux États-Unis, en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. Les exportations hors Canada de l’entreprise représentent d’ailleurs plus de 50 % de son chiffre d’affaires. Ses projets de qualité lui permettent de satisfaire aux normes élevées des pays acheteurs et de poursuivre sa conquête du marché mondial en ce qui a trait au traitement des boues usées et des déchets organiques, incluant la digestion anaérobie, dont une technologie de biométhanisation à haute performance, la déshydratation et le séchage des biosolides et des boues.

L’importance de l’écoresponsabilité

Parmi les annonces de M. Charest figurait un investissement annuel de 25 millions de dollars réservé aux entreprises qui commercialisent des produits écoresponsables ou des technologies vertes. Chef de file en matière d’écoresponsabilité, Groupe Berlie-Falco conçoit, fabrique et installe des procédés et des équipements spécialisés qui permettent aux entreprises d’atteindre les normes environnementales souhaitées. Une grande partie du chiffre d’affaires de la compagnie provient d’ailleurs de la vente de systèmes liés à l’environnement. La gamme complète de technologies offertes par Groupe Berlie-Falco, que ce soit pour le traitement de l’eau ou le traitement des boues usées, s’inscrit parfaitement dans les politiques gouvernementales en vigueur concernant l’écoresponsabilité.